L'écologie de la croyance
Inspired by: Abrahamic
La croyance ne flotte pas au-dessus du paysage comme un nuage de métaphysique. Elle prend racine dans le sol—modelée par le climat, la géographie, la nourriture, le danger, le commerce, la sécheresse, l’empire.
Les traditions abrahamiques sont nées du désert. Et le désert récompense la clarté : un Dieu, une loi, un peuple. La complexité coûte cher quand l’eau est rare.
Le livre suggère à plusieurs reprises que la théologie reflète l’écologie.
Par exemple :
- La vie nomade favorise les rituels portables
- Les climats arides valorisent une distribution disciplinée des ressources
- Les routes commerciales encouragent des éthiques universalistes
- Les empires exigent des structures juridiques évolutives
- Les zones frontières renforcent les frontières identitaires
Lorsque les environnements changent, la théologie s’adapte.
La pluie transforme le rituel.
La migration réécrit le récit.
L’urbanisation redessine la loi.
L’empire reconfigure la morale.
La croyance n’est jamais abstraite.
C’est de l’ingénierie écologique—codée dans la langue du sacré.
Si les montagnes façonnent le climat, les paysages façonnent les dieux.
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